L’immobilier haut de gamme appelé également immobilier Malraux est des bâtiments anciens en centre-ville qui ont une architecture bien conservée et se trouvent dans un quartier sauvegardé. Impossible de construire de nouvelles maisons ayant ces mêmes caractéristiques puisque le plan d’urbanisme est déjà mis en place. Ce n’est pas tout, l’immobilier de prestige locatif possède bien d’autres atouts.
Un emplacement de choix
Il existe beaucoup de programmes neufs hauts de gamme, mais qui n’ont pas le même privilège que les programmes Malraux. Ils sont beaucoup moins situés et donc difficiles à louer. Les zones sauvegardées n’étant pas extensibles, l’offre ne peut plus combler la demande. Investir dans l’immobilier haut de gamme assure donc une bonne garantie locative. L’intérêt architectural et historique de ces zones est inchangeable.
Un bien aux caractéristiques singuliers
Mis à part l’emplacement préservé, les programmes Malraux ont également des caractéristiques hors du commun. Ils ont été construits avec des moulures, des tonnelles, des parquets et des cheminées au modèle ancien, avec une apparence et des matériaux somptueux comme la pierre de taille. Qui plus est, le bâtiment est remis à neuf, sans interférer avec son style architectural initial. Sont rénovés les sanitaires, les plomberies, l’isolation, le mode de chauffage et les systèmes de fermeture/ouverture pour assurer le confort et la sécurité des résidents.
Une réduction d’impôt conséquente
Le plus grand atout de l’immobilier de luxe est également sa fiscalité. Mais sur ce point, il est plus sage de contacter un spécialiste de l’immobilier à Genève. Il faut tenir compte des différents coûts du bien pour pouvoir en tirer profit. Il y a d’abord le prix du foncier qu’est le prix du bâtiment à rénover. Il représente 30 à 70% du coût total. à cela s’ajoute le coût de la réhabilitation qui peut être énorme. D’ailleurs, ces travaux peuvent s’étaler sur plusieurs années. Toutefois, notez que plus les travaux sont énorme, plus important est l’intérêt fiscal. La réduction est de 30% des dépenses dans les secteurs sauvegardés et 22% dans les Avap et ZPPAUP.